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L’université d’Austin au Texas vient de publier, dans la revue “Evolution and Human Behavior”, une étude quelque peu cocasse concernant « la théorie de l’exploitabilité sexuelle». A travers des révélations surprenantes, l’étude porte sur l’idée selon laquelle les hommes sont génétiquement programmés pour rechercher des partenaires sexuelles faciles.
Quels sont les traits physiques et psychologiques chez une femme qui séduisent les hommes ? Comment les hommes distinguent-ils le fait qu’une femme soit plus disposée à avoir des relations sexuelles sans attaches ? Sur quels critères se basent-ils pour savoir à l’avance le type de relation (longue ou courte) dans laquelle ils s’engagent ?
Pour répondre à ces questions différents tests ont été effectués. L’un d’eux consistait à lister les traits physiques (attitudes et postures) qui, selon eux, seraient liés à une « réceptivité » ou « vulnérabilité » sexuelle chez la femme.
Les résultats de l’étude démontrent que les traits « physiques » listés comme étant des signes de « vulnérabilité » (petite, en surpoids…) ne sont pas perçus comme facilitant l’approche d’un homme à la recherche d’un rapport sexuel.
Cependant, les postures et traits « psychologiques » listés ont l’air d’avoir beaucoup plus d’effets sur les hommes. Ainsi, face à une sélection d’images ces derniers reconnaissent qu’une femme (aux allures) « ivre » ou « stupide » ou encore « immature » est (a priori) plus facilement abordable et facile à convaincre dans le but d’avoir un rapport sexuel.
Concernant les critères que les hommes ont jugé comme « attractifs » chez une femme on retrouve les éléments cités auparavant (l’air immature ou ivre, voire stupide).
Pas très rassurant…
Néanmoins, la tendance s’inverse totalement lorsqu’il a été demandé aux hommes de lister les critères les séduisant chez une éventuelle partenaire « de long terme » Ainsi les images représentant des femmes « intelligente », « sûre d’elle » et « dynamique » sont choisies sans équivoque comme étant de « potentielles compagnes » sur le long terme.
